Pourquoi cultiver la gentillesse et l’altruisme ne permettrait pas d’éclairer les aspects lumineux de l’être humain qu’il possède en lui ?
De nos jours, oser être gentil est une nouvelle forme de courage. Notre société a tendance à penser, à considérer que pour réussir, il faut être cynique et égoïste.
Méfions-nous des idées reçues : être gentil, ce n’est pas être naïf, ni se faire avoir.
Être gentil, ce n’est pas dire oui à tout, mais au contraire, c’est savoir s’affirmer face à l’autre dans une bienveillance assumée. Un état d’esprit bénéfique pour la santé physique et psychique qui se révèle souvent contagieux quand il est mis en action ?
De mon point de vue, la gentillesse est une qualité qui est caractérisée par la bonté, la générosité, la bienfaisance, la bienveillance et l’altruisme, qui devient incontournable au bonheur d’être soi, de vivre et travailler ensemble, une évidence partagée par beaucoup de monde.
C’est une forme d’intelligence et une vertu.
» L’homme le plus heureux est celui qui fait le bonheur d’un plus grand nombre d’autres. «
disait Diderot.
Nous avons tous un potentiel de bonté qui ne demande qu’un contexte favorable pour éclore.
« La gentillesse, authentique rend heureux.
Faire du bien aux autres, c’est aussi se faire du bien, comme au témoin d’actes de #gentillesse »
nous explique @Ilios Kotsou ci-dessous lors d’une émission sur une télévision belge